RITUEL DU SON ET DU MASSAGE
2h | 160€
Le pont entre deux mondes
Ce rituel est une traversée, un passage en douceur entre le monde du corps et celui des sons.
Il réunit unit la puissance du toucher à la douceur du son.
Idéal pour celles et ceux qui souhaitent découvrir les sons et les vibrations sans renoncer au contact des mains, ce soin invite à un profond lâcher-prise et à une reconnexion à soi.
Un rituel où les deux univers — le massage et le son — se rencontrent, se mêlent et s’enrichissent mutuellement.
Déroulement de la séance
La séance débute par une respiration consciente et une méditation d’ancrage pour ramener l’attention au corps.
Quelques sons doux ouvrent ensuite la séance, préparant le corps à recevoir.
Suit un massage du corps, fluide et enveloppant, qui relâcher les tensions et prépare à recevoir les vibrations.
Les bols tibétains sont ensuite posés sur le corps, leurs fréquences se propageant dans les tissus et apaisant le système nerveux.
Enfin, un paysage sonore clôture la séance, invitant à un état de profonde détente et de recentrage intérieur.
Un soin unique, véritable pont entre deux mondes, où le toucher et le son s’unissent pour réaccorder le corps, le cœur et l’âme.
Le massage et le son
La sonothérapie est une pratique de relaxation profonde qui utilise les sons et les vibrations des bols tibétains, des carillons, les tingshas et d’autres instruments harmonisants.
Leur fréquence agit sur le corps et l’esprit, favorisant la détente musculaire, la libération émotionnelle et la reconnexion à soi.
Combinée au massage, elle crée une expérience unique où le toucher et la vibration s’unissent pour rétablir l’harmonie entre le corps, le mental et l’âme.
Contre-indications
Ce soin n’est pas recommandé aux personnes porteuses de pacemaker ou implants électroniques; atteintes d’épilepsie ou traversant un traitement médical lourd.
Pour des personnes ayant des tiges en métal dans le corps ou qui ont subi une opération récente.
Si vous avez un doute, n’hésitez pas à me demander conseil avant la séance.
